Les Toboggans Poétiques


Les toboggans poétiques 

Dernière soirée des Toboggans poétiques avant l'été 2013!

Un cirque jubilatoire autour de la langue. Une allure de cabaret ambulant qui logerait les ébats d’un groupe d’artistes hasardeux : poètes, performeurs, comédiens, écrivains, musiciens, bruiteurs, chanteurs et provocateurs.
Un style de spectacle au débotté, expérimental, une attraction lyrique pour des éclats de langue. Elles, eux,  sont issus de voi(x)es diverses, ont poussé sur des terrains en friches du théâtre à parole, de l’oralité, des improvisations, des écritures contemporaines et des jeux du corps. Le collectif  des Toboggans Poétiques mélange les gens avec les genres pour rendre au spectacle poétique son insolence et sa nécessité.
 Pour bien voir la voix     révisons nos visions
et   nettoyons l’œil avec l’ouïe …


Samedi 29 juin 2013 à 20h

Grand cabaret des toboggans poétiques


avec Christine Schaller, Brigitte Goffart, Hervé Dauphin, Bruno Jouhet, Cécile Duval, Claire Gillet, Patrice Cazelles, William Minguau Darlin, Fabrice Villard, Christine Simon


à la Fabrique 70
70 rue Jean-Pierre Timbaud
75011 Paris

entrée : 10€ tarif plein et 5€ tarif réduit


Extrait d’un texte de Patrice Cazelles sur Fémur
























desChants par theatredor
Texte de Charles Pennequin extrait de "Comprendre la vie" dit par Cécile Duval le 29 juin 2012 à l'Echomusée pendant un cabaret des toboggans poétiques

" Le monde sa pensée nous ratatine, et nous faisons une poésie de ratatinés, parce que plein de vivants y agonisent, dit Artaud. C'est à cause de ça qu'il nous faut soulever la plaque poétique en faisant nos poèmes, en créant nos propres manières de respirer, d'entendre, nos façons de toucher la vie, et contre aussi les gestes artistiques qui ne disent plus rien de la vie, qui ont oublié l'inquiétude qui en est liée. C'est  à cause de ça qu'il nous faut montrer ce que pour­rait réellement être la poésie, car il n'y a qu'elle qui peut dire l'actuel de ce qui nous travaille, étant donné qu'elle ne s'embar­rasse pas forcément des formes polies de l'art et de toutes ces langues mortes d'être trop sues. » 
Charles Pennequin  


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